Les origines de la maladie
Incontestablement, la maladie est le symbole de quelque chose qui ne va pas en nous. Les maladies sont un langage symbolique, un signe qui nous avertit qu’intérieurement comme extérieurement, nous ne sommes plus adaptés aux évènements qui jaillissent dans notre vie. La maladie est un message du corps. Elle est en quelque sorte utile pour nous découvrir nous-même, pour prendre conscience de notre vécu ou de quelque chose qui ne va pas. Son message peut être : « Il faut que tu changes ta façon de voir les choses, ta façon de penser, ton comportement vis à vis de toi mais aussi vis à vis des autres ». Nous sommes tous porteurs de maladies qui ne nous appartiennent pas, seule la guérison de celles-ci nous appartient lorsque nous en connaissons le sens, la signification « c’est la connaissance qui guérit« . Il faudrait toujours se demander : « En quoi ais-je besoin de cette maladie, qu’est-ce qu’elle m’apporte de mieux dans ma vie de tous les jours ? » C’est là qu’intervient toute la symbolique du corps, le vécu de la personne. Il faut chercher tous les évènements positifs ou négatifs qui ont pu provoquer l’apparition de la maladie. Il nous faut écouter nos symptômes, nos émotions et les considérer comme des signaux d’alarme, comme des messages d’un déséquilibre envoyés par notre corps physique pour nous rappeler à des occupations plus importantes ; apprendre à exprimer nos émotions, à gérer nos émotions, à régler nos conflits, à ne pas laisser pourrir nos relations. La plupart de nos comportements inadaptés viennent d’une habitude que nous avons prise à un moment du passé.
Les facteurs les plus toxiques susceptibles de provoquer la maladie sont la peur, le déni, le ressentiment et l’attachement émotionnel. Notre cerveau ne fait aucune différence entre les informations réelles, virtuelles, symboliques ou imaginaires qui lui sont fournies.
Lorsque nous disons que notre destin est tracé, il en est de même pour la plupart des maladies qui sont souvent programmées en nous dès notre naissance et c’est notre vécu, notre façon de penser, de vivre, les évènements tout au long de notre vie quotidienne qui font qu’un jour la maladie apparaîtra ou n’apparaîtra pas. Les ressentis de la personne sont très importants dans la compréhension, le décodage, de la maladie. C’est le ressenti qui compte le plus, comment la personne perçoit telle ou telle chose, tel ou tel événement, comment elle vit et ressent sa vie de tous les jours, comment perçoit-elle ses relations avec les autres, se sent t-elle aimée ou rejetée, s’accepte t-elle comme elle est, tout ceci aux dépens de sa santé.
En 1851, le docteur C.G. Garus disait : « Pour comprendre la nature de la vie consciente de l’âme, la clef est à rechercher dans la sphère de l’inconscient. La vie de la psyché peut se comparer à une immense rivière en constant écoulement dont seule une petite section se trouve éclairée par le soleil ». Nos fonctions physiologiques communiquent entre elles, notre mental communique avec notre corps et vice versa.
Pour Freud, tout être humain est habité par une force appelée « Pulsion de mort », de destruction, qui pousse l’individu à rechercher le malheur.
Lorsqu’un évènement a marqué, toute situation analogue fera revivre inconsciemment la 1ère fois, et nous reproduiront la même réponse à ce stimulus, sans même nous en rendre compte. Nos cellules, comme nous, comme les particules qui nous composent, conservent la mémoire de tout ce qu’elles ont vécu. Quoi que nous fassions, quelle que soit notre faculté d’oublier, nous nous souvenons de tout, tout ce que nous avons vécu, tout ce que nous avons rencontré dans notre vie et qui a atteint un niveau d’excitation suffisant pour s’imprimer à jamais dans notre corps énergétique, dans nos archives, dans notre mémoire, telles des matrices. Dans la mémoire, les matrices peuvent être créées par un évènement brutal qui grave d’un coup les souvenirs. Elle va par la suite, face à un évènement analogue, entrer en résonance et influencer la réponse par un véritable réflexe conditionné. A titre d’exemple, regardez comme il peut nous arriver de réagir à un simple mot, une odeur, un spectacle.
Savoir ce qui est advenu dans le passé sert à déculpabiliser en préparant un avenir débarrassé de tout gène. Toute pathologie organique psychique ou inconsciente se manifeste par une fuite d’énergie hors du corps.
Albert EINSTEIN disait : « La connaissance ne vient qu’avec l’expérience. Le reste n’est que de l’information ».
Chaque maladie a un sens pour le cerveau, elle s’est programmée à partir d’un choc qui a amené un ressenti (voir les travaux du Dr. Hamer), ce choc est d’abord logé au cerveau sous forme d’une tache (visible au scanner), pour le même ressenti ce sera toujours la même tâche au même endroit (on appelle cela les « foyers de Hamer ») ce ressenti va ensuite toucher un organe cible, le cerveau ne pouvant plus garder ce stress, va l’envoyer dans un organe (en fonction du ressenti) qui a de la masse, pour donner du temps pour une éventuelle résolution. Mais bien évidemment tout cela est inconscient, mais bien là.
En bref,
Décoder c’est faire marche arrière, en utilisant les compréhensions précises de ce qui se passe entre le cerveau et le corps lors du début de la maladie. Lorsque l’on décode, il y a un micro-chocs chez la personne qui peut être perçu par des larmes, une accélération du pouls ou ne pas être perçu. Un peu du même style que lorsqu’un souvenir particulier nous revient.
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